A parcourir ci-dessous le compte-rendu illustré de cette sympathique sortie du 30 Mars rédigé par notre ami Michel.
Nous sommes 10 au départ de la gare cycliste à 9h30; la température est un peu fraîche (10°C). On s’élance tranquillement sur la piste cyclable en direction du pont d’Aquitaine. Au domaine des sources, on récupère un onzième larron.
En route la discussion tourne autour de l’état de la piste cyclable : elle est probablement inondée à la suite des pluies de cette semaine et le groupe décide de passer par le stade Matmut Atlantique et l’avenue de la Jallère pour garder les roues au sec… Arrivés à Lormont, on rejoint le Poteau d’Yvrac par un chemin pas habituel (par l’avenue du Périgord à Artigues).
Ensuite, on se dirige vers Fargues St Hilaire pour descendre le petit Tourmalet jusqu’à Lignan pour emprunter la route privée du Château Seguin qui offre un joli paysage.
Puis on rejoint Créon où on prend la route qui mène à la Bézine : après une descente rapide, on grimpe un coup de cul à 13% qui en surprend certains (mais enfin tout le monde parvient à dompter sa monture pour passer l’obstacle avec … un déraillement pour un cycliste…).
A partir de là, atteindre La Sauve est une simple formalité : on profite d’une table et de chaises pour casser la croûte, car il se prépare un loto sous la halle. Ensuite, retour par Croignon, Camarsac et Salleboeuf : et là, surprise, on rattrape de groupe GR de Patrice : un de nos camarade décide de continuer avec eux…
Après retour classique par Pompignac, le Poteau d’Yvrac et arrêt aux Canelés pour un réconfort bien mérité.
Enfin, tout le monde regagne St Médard par le même chemin qu’à l’aller, content de cette sortie sous le soleil que seul le vent et quelques bosses (800 m de dénivelé) ont ponctués cette belle journée.
➡ Samedi 6 Avril, ce sera sur les routes du brevet de nos camarades du RAA le Haillan que nous irons pédaler.
➡ Prochaine sortie cyclotouriste à programmer au mois d’avril en fonction de la météo et des forces en présence.
Très belle sortie, très bien organisée par Michel, comme toujours. Et un grand merci au 2 ou 3 anges gardiens qui se retournaient sans cesse pour voir si je suivais, surtout dans les bosses. Et encore mille excuses à Alain pour ne pas m’être arrêté au beau milieu du raidillons à 13% lorsqu’il a déraillé. Si je l’avais fait je n’aurais pas pu repartir.